cézanne carr RUN BOY RUN LA SOULMATE : célibataire MAUDIT DEPUIS LE : 02/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 121 MERCI À : gypsy water (emy ♥) TA FACE : dylan rieder Feuille de personnage to-do-list: les courses, acheter des clopes, retaper la baraque, taquiner poppy encore et toujours... rp en cours: poppy vos liens: | Sujet: tabac gauloise. Mar 3 Juin - 19:59 | |
| cézanne carr ❝ poisseux jusqu'à la moelle ! ❞ prenom :cézanne. c'est un prénom français. mais non, je suis américain, pas la moindre origine venue d'outre-atlantique ! ∞ nom : carr. c'est peut être court, un peu brut mais ça a le mérite d'être clair. ∞ surnom(s) : céz. et puis c'est tout. ∞ date et lieu de naissance : le douze décembre mille neuf cent quatre-vingt à whitefish (montana) ∞ métier: maçon. ça casse le dos et puis le béton bousille les doigts. j'suis pas à mes premières brouettes et ça arrive parfois de se prendre quelques coups dans la tête. ∞ orientation sexuelle : ce que j'aime ce sont les belles jambes longues, une poitrine bien ronde ou même menue mais surtout les petites fesses bien fermes que tu peux sentir musclées sous les doigts. les cheveux longs et bruns, ça fait son effet aussi. la peau parfumée et douce. quand vient l'été, je résiste difficilement au teint halé et surtout à la pâleur délicieuse que laisse le maillot sur un corps nu. mais surtout, un visage sans trop d'artifices. j'aime pas le rouge à lèvre, leurs bouches je les préfère natures, à point. et puis les ongles, je les aime longs pour les sentir griffer mon dos à chacun de nos rendez-vous langoureux. ∞ statut: célibataire ∞ caractère: on dit que j'ai un caractère de merde et les gens n'ont pas tort. j'suis peut être le gars le plus contradictoire qui existe, en plus d'être pessimiste. j'crois ni en moi, ni aux autres. j'suis même pas certain d'être heureux au fond de moi. en vrai, je veux pas me poser la question, je réfléchi déjà trop alors si c'est pour me torturer davantage l'esprit, non merci ! j'suis pas vraiment un mec agréable et pourtant - je comprends pas, j'intéresse les femmes. je les vois, à se retourner derrière moi. de quoi j'ai l'air franchement ? on a rien a envier à un pauvre con dans mon genre. elles devraient apporter plus d'importance à ceux qui en valent la peine. j'suis pas le mec idéal, c'est vrai. j'suis vulgaire, je m'énerve parfois pour un rien. je ne parle pas de mon passé, j'ai peu de conversation. et quand l'envie me prend d'être un connard, je m'envoie en l'air avec une fille qui alors - pense toucher le gros lot en passant une nuit dans mes bras. il n'y a vraiment rien d'exceptionnel. j'suis une brute, un ours mal léché. et ce qu'elles ne savent pas non plus c'est que quand j'ai finalement décidé de me laisser aller, d'être présent, je peux me montrer carrément possessif car mine de rien, j'apporte de l'importance à ce jolie bout de femme qu'elle est. très vite jaloux, j'en suis même parfois parano. voyez, on y gagne rien à me fréquenter. on perd juste son temps, entre engueulades, ennui et agacement. j'suis vraiment pas un mec bien, pas un petit ami potentiel. j'suis une bête difficilement apprivoisable. une telle gueule pour quoi ? cacher l'ourson qui se cache derrière mon regard sombre ? foutaise, c'est vraiment cliché. faut pas croire aux miracles, faut pas avoir foi, point. traces ton chemin, princesse. ∞ groupe: newcomers ∞ 1 △ qui etiez-vous avant d'arriver a ojai? toujours le même con - peut être en moins dur. être coincé là ça n'a pas forcément aidé à améliorer mon caractère. loin de là. de toute façon, j'ai toujours eu une vie difficile. j'ai été élevé par ma mère. mon père, je ne l'ai jamais rencontré et lui même, ignore mon excitante. ma mère n'a jamais vraiment mentionné ce manque ou ressenti de la haine envers cet homme, alors j'y ai jamais prêté attention. elle non plus n'a pas eu une vie simple. quand elle était enceinte, ses parents l'on tout simplement abandonnée dans sa galère, mais elle s'est montrée digne jusqu'à la fin. et même si elle pleurait tous les soirs, j'ai toujours été fier. si ma mère espérait craquer en secret, c'était peine perdue. j'étais là, à écouter ses sanglots. c'est surtout ça qui me m'était en rogne, qui m'a toujours révolté et déchiré. qu'une personne puisse être aussi malheureuse. et ne pas pouvoir lui venir en aide. à l'âge de seize ans, j'ai quitté l'école, à son plus grand regret et j'suis devenu un homme, peut être un peu trop sot mais volontaire, bourré de bonnes intentions pour l'aider à rapporter des sous, la soulager de ses heures de travail où elle se cassait le dos ; à passer derrière les autres, nettoyer leur merde et puis recommencer, encore et toujours ! si j'ai souffert de sa mort ? cela remonte à cinq ans et ça saigne toujours autant…ça fait mal putain ! aujourd'hui, je ne cherche même plus à partir, trouver un moyen. j'ai déjà bien trop chauffer ma voix à injurier tout ce monde, à pester sur cette maudite bourgade, sur cette satanée caisse qui a décidé de rendre l'âme il y a un an. ainsi va la vie. j'suis maçon, ça change pas. le reste du temps, je me fume des cigarettes à m'en bousiller les poumons. fumer est mon seul plaisir, alors votre morale, vous pouvez la mettre où je pense… ou alors, je joue au poker, à miser de l'argent sinon ça vaut rien, avec l'éternel verre de whisky et ces glaçons en accompagnement. 2 △ comment êtes-vous arrivé a ojai? j'suis parti de montana pour aller rendre visite à de la famille. sur le retour, j'ai décidé de faire un détour, histoire de profiter un peu plus longtemps du paysage. conduire, cela a toujours été un plaisir - alors même si je me languissais de retrouver mon lit, j'me suis arrêté un premier soir, à regarder le coucher de soleil : sa lumière teintait les courbes arides du désert. et puis direction la californie, que je voulais traverser pour voir l'océan pacifique. ojai. j'y ai passé la nuit et le lendemain à six heures, tandis que le jour ne s'était pas encore levé, impossible de démarrer ma caisse. le moteur faisait un drôle de bruit et du capot est sorti une fumée noire. le début du cauchemar et puis son prolongement, une semaine. deux semaines sans pouvoir partir. au bout de quatre mois, j'ai abandonné l'affaire. j'me suis résigné à rester. après tout - que ce soit ici ou ailleurs, ma vie ne pouvait pas être pire... | |
- Citation :
- ∟ poppy laisser le pas faire : t'emporter quelque part. ton regard court ici et là, sur les lignes irrégulières de ce paysage ; la ligne verticale des champs qui s'enfuit jusqu'au lointain horizon, celle moins régulière des montagnes qui trace leurs silhouettes imposantes, puis la tremblante des rives azures perturbées par le courant… quoi d'autres encore ? la vie. ce petit corps virevoltant dans l'air léger de ce soir un peu frais. ses cheveux longs et bruns balayent ses joues roses à chacun de ses mouvements. énergique, petit bout de femme qui se donne en spectacle. ou non. dans tous les cas, tu es là, ton regard posé sur elle et savoure cet instant - avec comme impression, de braver un interdit. tu profites, au cas où tu te ferais réprimander. subjugué, fasciné, tu te laisses emporter et rêves un peu. d'abord surprise, la danseuse ne bouge plus. ce sont vos yeux qui communiquent et tu la fixes jusqu'à ce qu'elle parle. même trop. terriblement curieuse comme une enfant de cinq ans qui pose mille et une questions à la seconde. tu uses de peu de mots et puis elle fini par se taire pour reprendre sa danse. invité à rester, tu laisses à tes pensées la liberté de commenter sa façon très gracieuse d'étirer son corps. finalement installé en ville, tu as abandonné toute idée de partir. rendant service aux habitants pour des travaux de maçonnerie peu chers, le père de poppy fait partie de tes clients récurrents. meilleur pêcheur que bricoleur cela te permet de fleurir ton porte monnaie et de revoir la danseuse étoile. un bon matin, alors que le soleil réchauffe déjà bien fort, poppy t'offres en guise de remontant la douceur de ses lèvres. entreprenante, c'est un baiser si gourmand que tu penses quitter le palier de sa porte en vue d'un prolongement moins innocent. aguicheuse, cette jolie allumeuse t'as laissé sur ta faim. d'abord frustré par une promesse non tenue, tu soupçonnes rapidement sa virginité et trouves alors à ce précédent baiser, un goût plus délicieux encore. tu en joues un peu, tu la dragues et lui offres encore plus qu'avant, tes plus beaux sourires. gentiment toujours - tu la provoques, la désire peut être aussi...
∟ elli en cours (mp) ∟ khaleesi en cours (mp) ∟ sully en cours (mp)
Dernière édition par cézanne carr le Dim 8 Juin - 14:34, édité 4 fois |
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Elli Anderson RUN BOY RUN LA SOULMATE : je suis au chat. MAUDIT DEPUIS LE : 02/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 25 MERCI À : class whore ; bazz TA FACE : cora keegan | Sujet: Re: tabac gauloise. Mer 4 Juin - 12:00 | |
| moi, moi, moi (j'imagine que mon poste dérange ? ) |
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cézanne carr RUN BOY RUN LA SOULMATE : célibataire MAUDIT DEPUIS LE : 02/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 121 MERCI À : gypsy water (emy ♥) TA FACE : dylan rieder Feuille de personnage to-do-list: les courses, acheter des clopes, retaper la baraque, taquiner poppy encore et toujours... rp en cours: poppy vos liens: | Sujet: Re: tabac gauloise. Mer 4 Juin - 12:01 | |
| non du tout, il dérange pas ;) oui, toi, toi, toi ! discutons lien ma belle |
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Elli Anderson RUN BOY RUN LA SOULMATE : je suis au chat. MAUDIT DEPUIS LE : 02/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 25 MERCI À : class whore ; bazz TA FACE : cora keegan | Sujet: Re: tabac gauloise. Mer 4 Juin - 12:06 | |
| bien alors discutons lien, allez. j'viens en touriste, parce qu'en fait, je n'ai qu'un lien en tête dont j'ai besoin.... et après je sèche donc d'abord, t'as besoin d'un truc en particulier ou pas ? |
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cézanne carr RUN BOY RUN LA SOULMATE : célibataire MAUDIT DEPUIS LE : 02/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 121 MERCI À : gypsy water (emy ♥) TA FACE : dylan rieder Feuille de personnage to-do-list: les courses, acheter des clopes, retaper la baraque, taquiner poppy encore et toujours... rp en cours: poppy vos liens: | Sujet: Re: tabac gauloise. Sam 7 Juin - 11:16 | |
| mp envoyé jolie blonde |
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| Sujet: Re: tabac gauloise. | |
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