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LA SOULMATE : officiellement célibataire, officieusement un être hante ses pensées.MAUDIT DEPUIS LE : 19/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 11 MERCI À : VENDETTA TA FACE : LINDSAY PERRY, SI POSSIBLE (A)
Sujet: Light on my shoulder ✤ Olivia+Mickey Sam 28 Juin - 18:16
❝ Well mama told me, when I was young Said sit beside me, my only son and listen closely to what I say and if you do this, it'll help you some sunny day ❞
Encore une fois, tu passais ta journée au chevet de ta grand-mère alors que la clinique voulait la garder pour faire des examens plus en profondeur sur sa maladie qui durait depuis plusieurs années déjà. C'était maintenant devenue quotidien pour la demoiselle s'accompagner sa grand-mère à ses rendez-vous. Il faut dire, qu'elle tentait de faire de son mieux mais parfois la situation était lourde à prendre en charge pour elle. Aujourd'hui, les examens furent exigeants pour la dame et celle-ci passa une partie de la journée à dormir alors Olivia demeura à son chevet près d'elle en cas de besoin se foutant d'être fatigué, après tout, elle n'avait plus qu'elle maintenant hormis son oncle qui prenait parfois la relève lorsqu'il pouvait se le permettre. La jeune femme finissait parfois par s'endormir sur la chaise où elle était assise, mais jamais d'un sommeil hyper profond étant constamment réveillée au moment où sa grand-mère bougeait. Après plusieurs heures, celle-ci se réveilla enfin et les deux femmes discutèrent une partie de la journée ensemble. « Je vais aller nous chercher un truc réconfortant à boire, tu en penses quoi?» Lança Olivia avec un tendre sourire aux lèvres, pour finalement se lever de sa chaise et sortir de la chambre, elle avait besoin d'air. Elle en profita pour marcher un moment dans les couloirs et même à faire un tour à l'extérieur histoire de se changer un moment les idées. Elle revint quelques minutes plus tard en sifflotant deux chocolat chauds à la main, mais elle manqua d'échapper sa commande lorsqu'elle vit quelqu'un assis à sa place au chevet de sa grand-mère. Son coeur se serra dans sa poitrine et elle fut désarmée de voir ce petit bout de femme rire légèrement aux paroles du jeune homme dans la pièce. Soudainement, la veille dame tourna son visage vers Olivia lorsqu'elle remarqua que les yeux du jeune homme s'étaient dirigés vers la porte, où Olivia était demeurée figée. « Tu as vue, qui m'a fait une grande surprise.» Olivia se racla la gorge en affichant un faible sourire, puis elle avança dans la chambre en disant; « Tiens, voilà ton chocolat, j'ai demandé un supplément de crème.» Cela fit sourire la vieille dame qui remercia sa petite fille. Aussitôt, un silence s'installa la demoiselle ne savait pas trop comment se comporter avec Mickey, littéralement surprise de le voir là. Elle vint à croiser son regard et tellement de questionnement traversaient son regard, elle avait tellement tentée à plusieurs reprises d'engager la conversation lorsqu'elle se pointait au vieux cinéma et ce dernier agissait comme si elle était une pure étrangère. Se glissant une main dans les cheveux, la belle demoiselle finit par déclarer; « Tu veux un café? Les machines sont pas très loin dans le corridor...» Une discussion semblait s'imposer, la grand-mère quant à elle afficha un doux sourire et incita Mickey à rejoindre Olivia en lui gratifiant un doux sourire. Lorsque ce dernier finit par se lever, une boule se forma dans le ventre d'Olive qui ne savait pas trop comment, elle allait démarrer cette fameuse conversation. Ils sortirent de la chambre et commencèrent à marcher, Olivia croisa ses bras contre sa poitrine et elle finit par tourner un regard discret vers lui en demandant; « Qu'est-ce que tu fais ici?»
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Dernière édition par Olivia Moriarthy le Lun 30 Juin - 21:09, édité 1 fois
Mickey Swan
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LA SOULMATE : Marié à ma main droite, mais publiquement j'suis célibataire.MAUDIT DEPUIS LE : 06/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 80 MERCI À : chevalisse (avatar) + ... (signature) TA FACE : Julian Schratter
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Sujet: Re: Light on my shoulder ✤ Olivia+Mickey Lun 30 Juin - 1:46
light on my shoulder
AVEC - OLIVIA MORIARTHY
"parfois le hasard fait bien les choses, il faut seulement s'en rendre compte..."
Olivia n'a jamais réellement quitté mes pensées. Elle était ma meilleure amie lorsque j'étais gosse et je n'ai jamais pu trouver une fille avec laquelle j'avais autant d'attaches. Je la voyais arriver au cinéma et rancunier comme je suis, je ne voulais pas recoudre les liens. Elle m'a blessée, énormément même. Une partie de moi voudrait bien lui pardonner, mais une autre me dit que je ne devrais plus lui parler. Elle a été injuste et méchante, tellement méchante au fond. La seule personne la plus proche d'elle avec qui j'ai gardé contact est sa grand-mère. Je l'ai toujours aimé, elle a toujours eu cette façon de rendre les gens un peu plus heureux malgré les embuches de la vie dans ce village merdique. C'est justement ce qui m'amène ici, à l'hôpital pour lui rendre une petite visite. Elle s'y rend souvent pour plusieurs raisons et je ne pouvais pas ne pas la voir. Je suis donc là, avec mon bouquet de fleurs à la main et je lui parle. On rigole un peu et elle me fait pitié. La voir dans cet état me brise le coeur. Elle était tellement une bonne personne. C'est comme ça après tout, la vie s'acharne sur les meilleurs et laisse les emmerdeurs en vie. Ma jambe tremble légèrement. Je sais qu'Olivia n'est pas loin, j'en ai profité lorsqu'elle a quitté la chambre pour entrer. « Comment va Olivia au fait? » Sa grand-mère me sourit et justement lorsque je pose cette question, elle entre dans la chambre avec des breuvages. Je baisse aussitôt le regard en m'éclaircissant la gorge. « Je... je crois que je vais y aller... » Et là, elle me fait ce sourire. Ce genre de sourire tellement charmant et remplit de sous-entendu. Je pose légèrement les yeux sur Olive, elle a toujours été aussi belle. Je hoche la tête à la question de la jeune Moriarthy. Je n'ai pas vraiment envie de parler en fait, mais sa grand-mère me fait bien comprendre qu'il serait enfin temps de parler du sujet de notre enfance.
Je me lève doucement en déposant un léger baiser sur le front de sa grand-mère en souriant. « On revient. Crèves pas pendant qu'on est partis hein! » Je ris légèrement en lui faisant un clin d'oeil. Nous sortons à l'extérieur de la chambre et presque aussitôt, Olivia entame la conversation. « Qu'est-ce que tu fais ici? » Je m'éclaircis la gorge à nouveau. « J'ai appris que ta grand-mère est entré à l'hôpital et comme j'ai toujours gardé contact avec elle... hé bien il fallait que je lui rende visite, prendre des nouvelles. Son état empire hein? » Je soupire légèrement en mettant mes mains dans mes poches. Nous arrivons près des machines à café et chocolat chaud. Il faut absolument que je me vide le coeur sur le sujet. J'ai trop longtemps gardé ces sentiments au fond de moi, sans en parler. « Tu sais que... bah... tu m'as fais un mal de chien au lycée, hein? Est-ce que tu pourrais m'expliquer... Pourquoi??? » Sans le vouloir, mes yeux se remplissent d'eau en me rappelant les évènements passés. Je la regarde rapidement dans les yeux en soupirant à nouveau. Je clique sur "chocolat chaud" et dépose un verre en attendant qu'il se remplisse.
Olivia Moriarthy
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LA SOULMATE : officiellement célibataire, officieusement un être hante ses pensées.MAUDIT DEPUIS LE : 19/06/2014 BOMBES ENVOYÉES : 11 MERCI À : VENDETTA TA FACE : LINDSAY PERRY, SI POSSIBLE (A)
Sujet: Re: Light on my shoulder ✤ Olivia+Mickey Lun 30 Juin - 21:48
❝ Well mama told me, when I was young Said sit beside me, my only son and listen closely to what I say and if you do this, it'll help you some sunny day ❞
De le voir là, assis auprès de ma grand-mère à tenter de lui remonter le moral, ça me fait sourire et je sens les muscles de mon ventre se contracter devant d'abord la surprise de le voir là, mais aussi qu'il est songé à passer à cette petite attention. C'est là, que je réalise qu'il n'a pas changé, qu'il est toujours le même garçon que j'ai connue mais qui est maintenant devenu un homme. Au départ, il souhaite partir et je le comprend d'être mal à l'aise vis à vis moi avec la manière dont je l'ai traité, il a toutes les raisons du monde de m'en vouloir. Mais, il finit par se lever de sa chaise et dépose un baiser sur le front de ma grand-mère, de manière tellement protectrice et tendre que je dois me parler pour ne pas éclater en sanglot comme une conne. Puis, il ajoute une phrase qui me fige un moment le sang dans les veines, mais que je finis par prendre sur le ton de la rigolade même que ça me décoche un sourire discret et amusé sur les lèvres. Nous sortons finalement de la chambre et on commence à peine à déambuler dans ce long corridor que je prend aussitôt la parole en lui demandant ce qu'il fait là et aussitôt il s'éclaircit la gorge pour me répondre; « J'ai appris que ta grand-mère est entré à l'hôpital et comme j'ai toujours gardé contact avec elle... hé bien il fallait que je lui rende visite, prendre des nouvelles. Son état empire hein? » Alors, comme ça il a toujours gardé contact avec elle? Étrangement, ça ne me surprend pas ma grand-mère l'aime tellement, elle le considère comme s'il était son petit-fils ayant été l'une des témoins de notre évolution. Tout en marchant, mes yeux se posent sur lui et je l'observe attentivement vient ensuite la question fatidique, ouais son état empire et ça dure depuis de nombreuses années déjà malheureusement. C'est à mon tour de baisser les yeux, je sais très bien que si j'ouvre la bouche pour lui répondre je risque de craquer, et je ne préfère pas. On arrive finalement devant la machine à boissons chaudes et la suite des événements, je ne m'y attendais pas du tout. « Tu sais que... bah... tu m'as fais un mal de chien au lycée, hein? Est-ce que tu pourrais m'expliquer... Pourquoi??? » J'ai l'impression de recevoir un coup de poignard alors que pourtant c'est moi qui était en possession de l'arme pendant qu'il était la victime. Une vague de remords me submerge et lorsqu'il croise mon regard, je remarque ses prunelles brillantes flottant dans l'eau et cela me déstabilise, tellement que j'ouvre la bouche et la referme fronçant les sourcils, cherchant les mots justes pour m'exprimer adéquatement alors qu'au fond je ne sais même pas pourquoi j'ai agis ainsi alors que ce n'était pas du tout dans mes valeurs. Je me décale de lui sentant l'émotion devenir trop palpable et je m'endosse contre le mur derrière moi, un moment mon regard se jette en avant et je finis par enfin ouvrir la bouche; « Je sais pas...» Une nouvelle fois, je fronce les sourcils et je grimace me trouvant complètement idiote. « Je voulais me faire accepter par les gens "cool" du lycée, alors je me suis mise à agir comme eux et voyant que ça marchait, j'ai continué puis tranquillement j'avais l'impression d'être moi, de m'être découverte.» J'hausse les épaules et lorsque je poursuis mon dialogue, ma voix n'est plus remplis d'assurance malheureusement elle se brise et mes yeux s'inondent de larmes; « Mais, j'ai perdue la seule personne qui m'appréciait vraiment pour ce que j'étais. » Je m'empresse de m'essuyer les larmes qui s'apprêtent à rouler le long de mes joues et je détournai les yeux laissant mon regard filé dans ce long corridor et je renifle légèrement rapportant mon regard sur lui cette fois alors que j'entend le déclic qui annonce que la boisson est prête; « J'ai déçue tellement de gens, ma grand-mère, toi, mon oncle aussi et moi n'en parlons même pas...» Je glisse une main dans mes cheveux signe de légère nervosité soudainement un sourire naît sur mon visage et j'enchaîne; « Tu sais quoi? Ma grand-mère m'a confiée un soir, qu'elle était née trop tôt. Qu'elle aurait aimée te rencontrer lorsqu'elle avait dans la vingtaine.» Je lâche un petit rire, peut-être que c'est stupide d'expliquer cette anecdote, mais j'ai comme un besoin urgent de parler avec lui de tout et de rien comme on pouvait le faire aisément autrefois. Mon sourire diminue devenant plus fin et je baisse un moment les yeux prenant une grande inspiration; « D'après les médecins, son état peut demeurer ainsi encore longtemps, elle est une bombe à retardement en fait.» J'hausse les épaules et déclare;« Personnellement, je paris qu'elle va vivre encore hyper longtemps, c'est une vraie tête de mule...» À croire que c'est de famille, ce type de caractère. Je finis par me laisser glisser le long du mur pour m'y asseoir et cette fois je garde le silence préférant me taire.